Chaque année en dernière semaine d’août se tient le séminaire d’été du CIFPr (Centre Interdisciplinaire de Formation à la Psychothérapie Relationnelle). Cette école de formation à la psychothérapie multiréférentielle, la dernière à proposer un cursus transversal depuis la fermeture de la regrettée Nouvelle Faculté Libre, ouvre alors ses portes aux professionnels extérieurs ou aux patients déjà en thérapie.
Étiquette : psychothérapie multiréférentielle
J’ai effectué ma formation de thérapeute au CIFPR, le Centre Interdisciplinaire de Formation à la Psychothérapie Relationnelle, basé à Paris.
Après y avoir été étudiant, et comme l’annonce cette brève sur son site officiel, j’en deviens désormais le directeur-adjoint, secondant Philippe Grauer, son fondateur et actuel directeur, avec qui je partage une grande amitié depuis vingt ans. Voici une brève histoire de mon lien avec cette école.
En 2017, lorsque j’ai commencé à publier sur ce blog, j’avais décidé d’écrire sur l’approche multiréférentielle en psychothérapie, ayant été formé au C.I.F.P.R., école qui place la multiréférentialité au centre de son cursus. Je l’avais même annoncé dans ce billet prometteur. Cinq ans plus tard, je ne me suis pas encore attelé à cette tâche, mais en relisant le dossier de parcours que j’ai présenté à la fin de mon cursus de formation, j’en ai tiré cet extrait qui m’a semblé pertinent pour aborder le sujet de la multiréférentialité.
Il m’est arrivé à plusieurs reprises de m’entendre dire la chose suivante : « psychothérapie relationnelle, c’est un pléonasme ». Et en l’occurrence, on pourrait le souhaiter, mais la réalité du marché psy est différente et si l’on peut – comme chez Molière – pratiquer la psychothérapie relationnelle sans le savoir, il ne suffit pas d’étiqueter relationnelle une pratique psychothérapique pour qu’elle le soit ou le devienne.